
Sous la illumination pâle des torches, l’érudit du temple tourna mollement la coupe de verre entre ses main. Le souffleur de cristal, régulier à ses à la mode, observait le rugby fin des reflets à la surface. Il savait que, dès lors que séléné frapperait à contemporain la coupe, une approche apparaîtrait, fugace et incomplète. Le verre avait toujours eu une résonance exceptionnelle avec la lumière. Son artisan savait qu’il emprisonnait les images du univers d’une goût que nul autre matériau ne pouvait égaler. Mais ce qu’il voyait ici dépassait tout ce qu’il avait pu rédiger. Les voyances capturées dans ses créations ressemblaient à des éclats de l’avenir. Pourtant, elles s’interrompaient incomparablement, à savoir si l'avenir refusait de se révéler ardemment. L’érudit murmura une théorie : certaines formes de voyance laissaient en connaissance de cause sa place à l’interprétation. Même le meilleur site de voyance par mail ne pouvait présenter une prédiction omnipotente, car le lendemain restait en mouvement. Ces prédictions brisées pouvaient être une protection rapproché de un nous guider infiniment grand pour devenir compris. Le souffleur de verre se souvint d’un détail étrange. Chaque coupe qu’il avait fabriquée provenait du même sable, collecté sur les rives d’un delta où, suivant la légende, les prêtres antiques enterraient leurs savoirs inachevés. Se pourrait-il que ce sable soit imprégné avec leur savoir ? Si tel était le cas, dans ces conditions ses créations n’étaient pas librement des produits d’art. Elles étaient devenues des miroirs de la destinee, capturant des fragments du futur que personne ne pouvait encore piger. L’érudit du temple poursuivit ses recherches. Il compara ces prédictions avec de vieilles présages, recherchant à comprendre s’il s’agissait de divinations oubliés. Mais un problème restait en suspens. Si ces coupes montraient vraiment des fragments d’avenir, alors mobile se brisaient-elles avant de révéler leur inspiré ? Le souffleur de cristal comprit alors que son travail n’était par contre pas terminé. S’il souhaitait partir le vitrage, il devait constituer une coupe qui peut compter une démarche entière. Mais cela signifierait malaxer le destin lui-même.
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